Grâce au Bloc québécois, le premier ministre avait l’occasion unique d’être équitable envers les aînés, de faire plaisir à 80 % du monde et, en plus, de rester au pouvoir.
Il pouvait faire d’une pierre trois coups. Il a plutôt choisi d’abandonner les aînés, de dire non à 80 % de la population et de se magasiner des élections. Voici mon intervention à ce sujet :